Un court métrage narratif au ton sombre et absurde où un enfant devient dépendant des  applaudissements, d’abord de ses parents, puis de la société.

Un court métrage non narratif où des événements aléatoires interconnectés se déroulent.

How to Disappear est un film anti-guerre au sens littéral, à la recherche d’une possibilité de paix  dans le lieu le plus improbable d’un jeu de guerre en ligne. C’est un hommage à la désobéissance  et à la désertion, tout autant dans la guerre numérique que dans la guerre physique-réelle. Tournés  dans les paysages de guerre pittoresques de Battlefield V, les graphismes hyperréels deviennent la  toile de fond d’un récit en forme d’essai. Le film s’articule autour de l’histoire des déserteurs – une  facette de l’histoire humaine, qui a rarement été mise en lumière. Performances et interventions  créatives explorent les étendues et les limites de la machine de divertissement audiovisuel. 

Une femme reçoit un massage des pieds surnaturel. 

Sibyl est une pièce qui explore la prophétie auto-réalisatrice de la prédiction. Créée à l’aide de la  capture volumétrique et du GAN, elle explore le concept d’intentionnalité et remet en question le  miroir en boucle de la prévisibilité de l’IA et de l’apprentissage automatique, non pas comme un outil  de prédiction mais comme un outil de consolidation. Dans la mythologie grecque, la sibylle était une  prophétesse, un oracle, une voyante, généralement de sexe féminin, agissant comme «la bouche  et la voix de Dieu», ce qui ressemble étrangement à la création d’assistants IA par la Silicon Valley  : d’Eliza, le premier chatbot inventé en 1964, à Alexa, Siri, Cortana, Mica, jusqu’à la dernière IA de  Google, Meena. Dans les périodes incertaines, sombres et anxieuses, la prédiction et le recul sont  précieux. Comme l’apprentissage automatique permet à l’intelligence artificielle d’en faire des plus  rapides et «meilleures», nous pouvons affirmer qu’il s’agit d’un miroir dans un miroir, plutôt que  d’une prédiction. Sibylle exécute une danse répétitive dans laquelle chaque mouvement commence  et se termine de la même manière, dans une boucle en miroir. 

https://martadifrancesco.com 

Stephan Bybus est un artiste visuel qui travaille à la fois le numérique et l’analogique. Son travail tente de renverser le récit de l’image de soi et de l’optimisation de soi dans le monde des  médias sociaux. 

Il souhaite montrer quelque chose qui reflète davantage nos propres imperfections et insuffisances. 

https://stephandybus.de/ 

Cette vidéo fait partie d’une série qui explorent visuellement la violence sous-jacente des manuels  romantiques, les Textbook Romance. 

The artificial grass needs cleaning again 

Cette vidéo explore le gazon comme une métaphore de tout à travers une variété de citations  historiques et inspirantes. 

http://www.keatonfox.net/ 

Cette vidéo explore le gazon comme une métaphore de tout à travers une variété de citations historiques et inspirantes. 

http://www.keatonfox.net/ 

La proposition aborde un trait éminemment caractéristique de notre société actuelle, la volonté de  célébrité, ou pour le dire différemment, l’envie de sortir de l’ombre pour entrer dans la lumière, en  espérant parfois même devenir cette « lumière ». Le désir de célébrité semble gagner aujourd’hui de  plus en plus d’individus ; et ce phénomène s’est largement accru par la multiplication de l’information  via les réseaux sociaux, la télé-réalité, la multiplication des écrans. Les éléments qui composent le  film proviennent d’impressions trouvées dans des magazines, livres et affiches. 

https://jeremy-griffaud.fr/work 

Ces vidéos sont une documentation de ces recherches quotidiennes pour trouver de nouvelles  façons de détruire des choses dans son atelier. 

janhakon.com

  Issu d’un point de vue non-anthropocentrique, cette vidéo se concentre sur une perspective  réconfortante sur la très discutée destruction imminente de la race humaine, cherchant un  soulagement dans le fait que la terre existera bien après les humains, exactement comme elle l’a  fait avant eux. 

https://kakiakonstantinaki.com/

Ils tournent en rond est une réinterprétation de la peinture Kermesse avec Théâtre et Procession  de Pieter Bruegel le Jeune. Après avoir effacé numériquement les personnages présents dans le  tableau original, de nouveaux personnages ont été réanimés à l’intérieur de cette scène médiévale.  Ludiques et décalés, les personnages (des clones de Boris Labbé!) rejouent continuellement les  scènes de la peinture originale, enfermés dans leurs cycles incessants. 

Intro : Chanteurs montagnards de Lourdes, Se Canti 

Un voyage vers l’abstraction, comme une hypothèse sur la façon dont les montagnes auraient pu  se former. 

Animation numerique, images satellites et modèles 3D des Pyrénées.  

https://www.borislabbe.com/ 

Les vidéos de Benjamin Lemoine sont essentiellement des expérimentations avec Houdini. Avec ce  logiciel 3D, il essaye de retrouver le feeling qu’il pouvait avoir avec le dessin.  Il déforme, salit, fait fondre afin de rendre vivant la 3D qui est par défaut propre et parfaite. «J’essaye de les rendre «mortel»» 

https://www.instagram.com/blemoine/

  Nous nous sommes transmutés dans le Plasticène et dans la mythopoésie et nous avons commencé  le recyclage des œuvres c’est-à-dire démarré le grand compost-moderne, vers une nouvelle ère  plastique, vers le multipicturalisme, vers l’art de la transmutation numérique, vers des esthétiques fictions. 

Ces vidéocollages réalisés sur Ipad et smartphone, proposent des images à la fois technologiques et très primitives de cette transmutation picturale en cours.  

https://derives.tv/constellation/legrand/ 

Alexandre Louvenaz est artiste 3D, il crée des courts métrages, des GIFs et des petites séries animées (ex : Jamir at home, Zimzams, pour Adult swim). En utilisant une iconographie surréaliste,  il essait de produire de l’humour et d’étranges sentiments.

http://www.alexandre-louvenaz.com/ 

La vidéo «Réalisme Grotesque» mélange poésie parlée et musique électronique pour proposer un  voyage aux accents baroques et technologiques. Elle se déroule dans un temps étrange faisant se  rencontrer images de synthèse et courts récits intimes, entre clip musical et rêve introspectif.  Avec les voix de Colin Brouet, Etienne Lascaux; musique composée avec Kevin Gotkovsky et  Théophile Robinne. 

@octaverimbertriviere @reolpablo

Depuis 2016, je réalise une performance du 1er janvier au 31 décembre, chaque année, différente  d’une année sur l’autre, ces performances prennent des formes très diverses.  

En 2020, j’ai diffusé un film sur le réseau social Facebook au rythme d’un photogramme par jour  durant 366 jours, année bissextile oblige. 

https://schonerstedt.tumblr.com/