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Forum d'Urbanisme et d'Architecture

Oleksiy Radynski, Circulation, 2020 © Oleksiy Radynski
Oleksiy Radynski, Circulation, 2020 © Oleksiy Radynski

Forum d'Urbanisme et d'Architecture

2022

89 route de Turin, 06300 NICE

Evénement

 

Conversation 

Mercredi 07 décembre 2022 

A 18h

 

CIRCULATION

КОЛООБІГ

avec

Bohdan ZHUK, programmateur et critique de cinéma

 

Cette rencontre/débat est organisée dans le cadre de l’exposition et projection vidéo présentée par le Forum

dans le cadre de sa participation à l’édition 2022 du festival OVNi / Objectif Vidéo Nice,

pour laquelle Bohdan ZHUK a été son commissaire invité.

 

Elle s’articulera autour du film « Circulation » (Колообіг) du documentariste ukrainien Oleksiy RADYINSKI, un long traveling

à travers les paysages urbains de la capitale ukrainienne, filmés au long de trois années depuis les fenêtres de trains

en mouvement à travers la ville et ses marges. Condensée par le montage en un objet filmique de dix minutes,

cette errance urbaine (qui est tout sauf erratique, mais au contraire dosée avec une extrême finesse) enchaîne,

comme en un chapelet hypnotique égrené sans fin, un catalogue d’architectures et de paysages modelés et habités

par l’homme, ainsi que de leurs infimes variations au fil du temps.

 

Il y sera question du pouvoir de l’image filmique pour représenter la ville, de sa puissance évocatrice

de l’histoire architecturale et sociétale, tout autant que de la relecture d’images filmées antérieurement

dans le contexte actuel de guerre.

 

conversation en français et en anglais

 

En savoir plus

Oleksiy Radynski, Circulation, 2020 © Oleksiy Radynski
Oleksiy Radynski, Circulation, 2020 © Oleksiy Radynski

Oleksiy Radynski

Circulation

2020 - 11'24" - Couleur

« Circulation » (Колообіг) est un long traveling à travers les paysages urbains de la capitale ukrainienne, filmés au long de trois années depuis les fenêtres de trains en mouvement à travers la ville et ses marges. Condensée par le montage en un objet filmique de dix minutes, cette errance urbaine (qui est tout sauf erratique, mais au contraire dosée avec une extrême finesse) enchaîne, comme en un chapelet hypnotique égrené sans fin, un catalogue d’architectures et de paysages modelés et habités par l’homme, ainsi que de leurs infimes variations au fil du temps.

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