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Hôtel Windsor

@Sea Hyun Lee, Kim Young-Hun Frequency,2017
@Sea Hyun Lee, Kim Young-Hun Frequency,2017

Choi & Lager

2017

Choi & Lager ouvre leurs portes en Allemagne en décembre 2012 par Sunhee Choi and Jari Lager et avec Jinhee Choi comme directeur. Puis en 2016 un nouvel espace à Séoul en Corée du Sud voit le jour.

La galerie propose les artistes Rose Wylie, Nick Hornby et Sinta Tantra, Gorka Mohamed, Kim Eull, Andreas Blank, Dale Lewis, Bernhard Martin, Helena Parada-Kim, Matthew Stone, Jinyoung Yu, Scott McFarland, Sea Hyun Lee, Hyunjin Bek, Daniel Firman.

@Sea Hyun Lee, Kim Young-Hun, Frequency, 2017
@Sea Hyun Lee, Kim Young-Hun, Frequency, 2017

Ryu Biho - Sea Hyun Lee - Kim Young-Hun

Frequency

Installation, vidéo, techniques mixtes, dimensions variables, 2017

Choi & Lager Gallery

Choi & Lager Gallery présentera des œuvres de trois artistes coréens à Camera Camera. Tous les trois se servent du paysage comme langage métaphorique s’élevant contre la situation politique et sociale actuelle en Corée du sud.

 

A propos des artistes :

 

Le travail de Ryu Biho capture en noir et blanc, les paradoxes des sentiments humains, dans une atmosphère de poétique, calme et méditative. Rapide industrialisation, capitalisation et modernisation ont apporté des changements radicaux, qui ont tourmenté l’actuelle société corénne. Ces thèmes sociaux sont abordés à travers des personnages marginalisés et oubliés, l’artiste… The Wanderer’s Song of Wind (2015) et The Song of Wind (2015) seront montré à Camera Camera.

 

Sea Hyun Lee dépeint une utopie mourante dans ses toiles pour exprimer la situation tragique de la Corée aujourd’hui. Les paysages magnifiques, qui sont dans le cœur de nombreuses personnes sont voué à la destruction au nom d’un développement rapide et irresponsable. A travers des toiles, rendant hommage à la peinture traditionnelle coréenne, l’artiste dépeint une vision surannée et anachronique des paysages traversant la péninsule.

 

Le peintre coréen Kim Young-Hun est  concerné par les médias, en particulier par les différences inhérentes entre le les vides binaires du numérique et la présence matériel des artefacts de l’analogique.  En utilisant la technique du pinceau en cuir ‘Hyeokpil’, ses éléments figuratifs se transforment en objet informes, perdus entre des effets tourbillons et de dégradation colorées crystallines, résultant un paysage abstrait.